2000 étudiants qui se sont portés volontaires pour passer une IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) ainsi qu’un prélèvement sanguin.
Un chiffre fort qui marque une fois de plus l’importance de cette étude, mais aussi l’engagement des jeunes dans celle-ci.
A quoi cela va-t-il servir ?
Ce projet a été lancé afin de pouvoir améliorer la santé des jeunes et de mieux prévenir certaines maladies.
En effet, l’état de santé des jeunes adultes et leur mode de vie peuvent provoquer la survenue de maladies chroniques comme par exemple des maladies cardiovasculaires ou des maladies neurodégénératives.
Des maladies qui se manifesteront avec le temps, mais qui peuvent d’ors et déjà être présentes et détectables.
Les données biologiques et la banque d’images constituent des « biomarqueurs » qui permettraient de déceler certains facteurs de ces maladies.
L’objectif étant de pouvoir par la suite développer des stratégies de prévention afin de les éviter.
Les données récoltées à travers ces 2000 IRM et prélèvements sanguins permettront également d’en savoir davantage quant à la santé des étudiants et ses conséquences cérébrales.
Des conséquences visibles via l’image de l’IRM.
C’est ainsi que les chercheurs s’intéressent à l’impact des études sur le développement cérébral.
Qui sont ces 2000 participants ?
Agés de 18 à 24 ans, ces étudiants ont accepté de participer à cette étude.
A la suite d’un entretien où l’étude et les modalités des examens leur ont été présentées, chacun d’eux à passer une IRM ainsi qu’un prélèvement sanguin.
Ces 2000 jeunes font partie des 16 800 Sharers (participants à l’étude i-Share) que réunit l’étude.
Une mobilisation importante pour la recherche sur la santé des jeunes d’aujourd’hui et de demain.
RC/FP